Le secteur high-tech, l’innovation permanente
En permanente évolution, le secteur de la high-tech regroupe l’ensemble des domaines d’activité de la haute technologie, de la téléphonie à l’aérospatiale, des biotechnologies à la robotique. Pour l’illustrer, on pense naturellement aux géants mondiaux que sont les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et autres fabricants internationaux de matériel de pointe. Logique, lorsque l’on sait que le berceau de la high-tech est la célèbre Silicon Valley. C’est oublier que 60 % des entreprises du secteur sont des TPE, des PME et des start-ups !
Conceptrices de produits ou de services destinées au grand public, ou bien sociétés BtoB, les entreprises high-tech se placent sous le signe de l’innovation permanente, du produit ou service que d’autres n’ont pas encore inventés. Elles se doivent d’abord de rester compétitives, et ce face à des mutations technologiques constantes, sur un marché par nature mondial dont il leur faut anticiper les tendances. En conséquence, ces sociétés se caractérisent par le poids de leurs investissements en Recherche et Développement, lesquels exigent bien souvent des levées de fonds. Dans ce contexte, tout lancement de produit ou de service, tout événement organisé par une entreprise high-tech est source de lourds enjeux.
En France aussi, la haute technologie occupe le devant de la scène économique. En 2018, la French Tech était riche de quelque 10 000 start-ups, se distinguant notamment dans les domaines des technologies de la santé, de l’éducation, de la finance et des cleantech, les technologies propres. Le dynamisme du secteur est illustré par un autre chiffre : plus de 1 500 start-ups sont créées chaque année, pour lesquelles « avoir la bonne idée » et les compétences techniques n’est cependant pas suffisant. Les projets d’innovation, leur raison d’être, doivent en effet être accompagnés de projets de communication structurés, développés en amont et en aval, c’est à dire destinés aux investisseurs, aux institutionnels, mais aussi aux clients et aux médias.
La Région Auvergne Rhône-Alpes est très compétitive dans ce domaine et compte beaucoup d’entreprises du secteur high-tech, plus particulièrement à Lyon, reconnue comme une smart city. Le quartier de Confluence lieu d’innovation par excellence, est un véritable laboratoire de la ville de demain (hub numériques, objets connectés, nouvelles mobilités avec NAVYA, connexion des différents îlots à un smart grid…).
La communication dans la high-tech
Dans le secteur high-tech bien plus qu’ailleurs, une stratégie de communication efficace nécessite expérience, expertise, veille quotidienne et réactivité, que celle-ci concerne la notoriété d’une entreprise ou bien un focus spécifique sur un produit ou un service.
La communication, pour une société du secteur high-tech, s’appuie sur le digital, tant ce domaine est par nature issu de la révolution numérique. La stratégie de communication pour un produit destiné à des cibles identifiées passe d’abord et avant tout par le développement d’un site internet dynamique, attractif et, à l’image du secteur, ultra-créatif. Ainsi pour exemple, on constate qu’aujourd’hui un site internet influence dans leurs décisions d’achat, 33 % des consommateurs de produits high-tech de la génération Y (les personnes nées entre 1980 et 2000) (*).
Votre agence de communication spécialisée dans la high-tech
L’entreprise high-tech est une entreprise communicante par essence, à la fois sur son expertise, ses compétences et sa marque commerciale. S’ajoutent au web et au social media la stratégie de marque, le brand content (plateforme des messages), l’événementiel ainsi que les relations médias, expertises de l’agence Esprit des Sens. C’est un savant et subtil dosage de chaque savoir-faire pour chaque outil de communication, et pour chacun d’eux l’intervention des meilleurs spécialistes, qui assurent la réussite d’une campagne de communication sur-mesure.
EDS accompagne start-ups et jeunes entreprises du secteur high-tech à toutes les étapes de leur développement.
Exemple : Navya depuis 2014, à sa création, d’abord en RP, puis en communication globale.
(*) Etude Arketi Group, mai 2016